Les accidents de Pécroz puis de Buizingen ont mis en lumière de manière dramatique la crise dans laquelle se trouve la SNCB. Le mal serait même profond. Trois éléments particuliers reviennent sans cesse à la surface pour expliquer cette situation. Un problème organisationnel : la nouvelle structure du groupe à trois « têtes » fonctionne mal. Un problème financier : la dette importante du groupe fragilise sa situation et met en péril ses missions de service public. Un problème idéologique : on peut douter que la libéralisation totale du secteur, prévue à l’horizon 2017, soit de nature à améliorer la situation.
Dès qu’il a fallu procéder à des restrictions budgétaires, le secteur de la Coopération au développement a souvent été, sous les gouvernements précédents, victime d’« ajustements » conséquents. Qu’en est-il aujourd’hui ? Arnaud Zacharie, secrétaire général du CNCD-11.11.11, décode les réformes en cours et la vision qui les sous-tend. Entretien.
Le 22 décembre dernier, le nouveau gouvernement bruxellois adoptait son projet de « Contrat pour l'économie et l'emploi », un épais document qui servira de fil conducteur à la politique bruxelloise pour la durée de la législature. Emploi, économie, logement, formation, fiscalité, rénovation, environnement, développement de l'identité bruxelloise... toutes les intentions y sont, ou presque, pour revitaliser une Région dans laquelle les problèmes sociaux ne manquent pas. Le point sur ces nouvelles priorités.
Dans quelle mesure la technologie peut-elle modeler la société, dans quelle mesure la société peut-elle façonner la technologie ? Cette double question est sous-jacente à toutes les analyses des relations entre technologie et société. Le livre « La technologie, un jeu de société » (1) propose un bilan des analyses existantes, en s’appuyant sur de nombreuses recherches dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC).