Dans les deux précédents numéros de Démocratie, nous avons ouvert le dossier « Pensions » en abordant tout d’abord les enjeux liés à l’âge de la retraite (« Faut-il relever l’âge de la retraite ? »), puis en nous penchant sur le travail des pensionnés et les pensions de survie. Pour clore ce dossier d’actualité, nous nous pencherons dans les lignes qui suivent sur la question des pensions en cas de divorce et de séparation.

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Dans un précédent numéro de Démocratie (n° 10), nous avons disséqué les enjeux liés à l’âge de la retraite (« Faut-il relever l’âge de la retraite ? »), aux fins de carrière, et en particulier à la question des prépensions. Dans les lignes qui suivent, nous poursuivons l’enquête en nous penchant cette fois sur le travail des pensionnés ainsi que sur les pensions de survie.

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Dans de précédents numéros de Démocratie, nous nous étions penchés sur les grands enjeux pour l’avenir des pensions : perspectives démographiques, choix entre pension légale et pensions privées, entre répartition et capitalisation, taux de remplacement, niveaux de pension suffisants pour vivre (voir les numéros des 1er et 15 février 2009). Dans une nouvelle série d’articles en trois actes, nous aborderons les questions concrètes suivantes : faut-il relever l’âge de la retraite ? Que penser du travail des pensionnés et des pensions de survie (dans Démocratie n° 11) ? Quelles solutions en cas de divorce et de séparation (dans le n° 12) ?

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Par ces temps politiques troublés, les enjeux socio-économiques de plus long terme (vieillissement, climat) ont un mal grandissant à se frayer un passage même discret vers l'agenda politique. Pourtant, les échéances se rapprochent et des (ré)orientations stratégiques devraient être définies de toute urgence et mises en œuvre.

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La sécurité sociale a connu des réformes positives en termes de prévention de la pauvreté. Après de nombreuses années de relative stagnation des revenus de remplacement hors indexation, les minima sociaux ont été revalorisés en plusieurs étapes, ce dont l’article tente de retracer les grandes lignes. En assurance maladie aussi des améliorations ont été entreprises en faveur de l’accès aux soins mais la couverture dépendance reste insuffisante. Enfin, la hausse du nombre de bénéficiaires de l’aide sociale et la persistance de la pauvreté inclinent à s’interroger sur les dégâts et les manques des politiques liées ou non à la sécurité sociale, ainsi que sur l’action qui devrait être accentuée à l’encontre des phénomènes de reproduction de la pauvreté.

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Dans le précédent numéro de Démocratie, Paul Palsterman s’interrogeait sur l’avenir à long terme des pensions. Dans vingt, trente ou quarante ans, celles-ci seront-elles payables ? Au-delà des réponses toutes faites des marchands de pensions complémentaires, la vraie réponse à cette question, soulignait-il, dépendra de l’évolution de l’ensemble de la protection sociale et de l’évolution de l’ensemble de l’économie. Et de conclure par cette autre question : que serait un bon système légal de pension, qui offrirait un taux de remplacement satisfaisant ? Tentative de réponse dans le deuxième volet de cette analyse...

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Les discussions sur l’avenir des pensions sont encombrées de « grandes » questions, telles que, par exemple : pourra-t-on payer les pensions dans dix ans, dans vingt ans, dans quarante ans ? Et pourquoi, d’ailleurs s’arrêter en si bon chemin ? Les études actuelles bornent leurs prévisions à l’« horizon » 2050. Mais pour un jeune qui commence sa carrière professionnelle, la question des pensions se posera aussi en 2070, 2080, voire au-delà. La question est de savoir s’il est possible de répondre à ces « grandes » questions, et si celles-ci ne noient pas le débat. S’il y a une réponse, elle tient en deux points : la question des pensions ne peut pas être isolée du reste de la protection sociale ; la question de la protection sociale ne peut pas être isolée du reste de l’économie.

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Il n’est vraiment plus possible d’ignorer que notre population vieillit, chez nous, comme dans toute l’Europe de l’Ouest ou de l’Est. Le nombre d’enfants qui naissent est insuffisant pour assurer la relève et nous vivons de plus en plus vieux. En Belgique, comme ailleurs, on a commencé à se soucier des conséquences de cette situation. C’est ainsi qu’une loi de fin 1996 a réduit le montant des pensions futures, qu’un début de réserve a été constitué par la création d’un « Fonds argenté », que les gouvernements Dehaene et Verhofstadt ont réduit la dette publique, et que le « Pacte des générations » de fin 2005 a pour but d’allonger la durée effective des carrières et de freiner l’accès aux prépensions. En soins de santé aussi des bonis budgétaires sont mis de côté.

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Le Gavroche

Les inégalités jusqu'au bout des dents

Franck Vandenbroucke veut interdire aux dentistes de facturer «des honoraires supérieurs… Lire la suite
Mai 2019

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