Avant de brosser la situation de l’accueil extra-scolaire de nos jours, il est important de convenir de ce qu’on entend exactement par accueil extra-scolaire. Le récent décret du 3 juillet 2003 relatif à la coordination de l’accueil des enfants durant leur temps libre et au soutien de l’accueil extra-scolaire (décret ATL), entré en vigueur le 1er janvier 2004, le définit comme étant l’accueil des enfants de 2,5 à 12 ans avant et après l’école, le mercredi après-midi, le week-end et durant les congés scolaires.


Lire la suite...

Le secteur de l'aide à la jeunesse, on.le sait, est le parent pauvre de la Communauté française. Le financement structurel, l'adaptation des masses, salariales, les, heures prestées, autant de points sensibles sur lesquels reviennent régulièrement les syndicats. Démocratie a rencontré.Jean-Marie Alluin, délégué syndical CNE et éducateur au home la Goudinière à Tournai. Il fait le point sur les acquis et les manques de la dernière négociation.


Lire la suite...

En matière de délinquance, l'éternel balancier entre le tout au protectionnel et le tout au, répressif resurgi t souvent Il existe pourtant une mesure médiane. les peines alternatives. Appliquées par les services de prestation éducative ou philanthropique, les SPEP, ces peines sont de plus en plus requises par les juges de la jeunesse.* Démocratie a interrogé Michel Heinis, responsable d'un SPEP bruxellois: le Radian.


Lire la suite...

Généralement assez discrètes, les institutions publiques de protection de la jeunesse ont défrayé récemment la chronique .Motif: le manque de places disponibles. Première conséquence. deieune délinquants sont renvoyés à leur famille sans autre forme de procès. Au-delà de ce problème récurrent, qui connaît le fonctionnement de ces institutions? Démocratie s'est penchée sur l'IPPJ de Wauthier-Braine.


Lire la suite...

Dans le premier dossier consacré à l'Aide à la jeunesse et publié dans le précédent numéro de Démocratie, nous avons analysé les réformes successives du secteur, Cette fois, nous sommes allés voir sur le terrain comment fonctionnent le résidentiel privé, le résidentiel public et les services de prestation éducative. Nous avons également donné la parole à un délégué syndical du résidentiel privé. Seconde radioscopie d'un secteur en pleine réforme.


Lire la suite...

La réforme vise à diversifier et à réorienter les pratiques résidentielles. Elle s’appuie donc essentiellement sur les services existants, ce qui n’est pas sans poser question au regard de la programmation géographique, et ce d’autant plus que des garanties auraient été données sur le maintien de l’emploi. Quatorze arrêtés règlent les conditions d’agrément et de subventionnement pour 14 types de services! Cette inflation réglementaire peut sans doute se comprendre dans le cadre d’une stratégie de diversification de l’offre. La multiplication des types de projets pédagogiques risque cependant de compliquer la lisibilité et partant la crédibilité des services. La simplification n’est malheureusement pas à l’ordre du jour.


Lire la suite...

L’Aide à la jeunesse change de paysage après des années de concertation… et de tergiversations. Quelles sont les grandes orientations de cette nouvelle réforme? Quels enjeux pour le nouveau gouvernement ? Pascal Henry, président du Conseil communautaire de l’Aide à la jeunesse, nous offre son point de vue à travers une radioscopie du secteur.


Lire la suite...

En mars dernier, le gouvernement de la Communauté française adoptait 16 nouveaux arrêtés(1). Son objectif: redessiner le secteur de l’Aide à la jeunesse en s’appuyant sur les principes qui lui avaient servi de fondement pour élaborer son décret du 4 mars 1991. Une réforme qui ne manque pas de plonger le secteur dans l’incertitude et l’inquiétude.


Lire la suite...

L’Aide à la jeunesse était auparavant une matière qui relevait de l’État fédéral. Les "enfants du juge", l’aide aux jeunes en difficulté, les homes, etc. dépendaient de l’Office de protection de la jeunesse, qui constituait une branche du ministère de la Justice. Le 8 août 1980, la loi spéciale de réformes institutionnelles a octroyé aux Communautés la compétence des matières dites personnalisables, parmi lesquelles la Protection de la jeunesse (à l’exception des matières relevant du droit civil, du droit pénal et du droit judiciaire). La Communauté française a utilisé son pouvoir en cette matière afin de tenter de concrétiser des réformes qui étaient incontestablement attendues. C’est ainsi qu’est né le décret du 4 mars 1991.


Lire la suite...

Ces dix dernières années ont vu le débat politique se concentrer sur la délinquance juvénile, en négligeant l’Aide à la jeunesse. Un secteur qui pèse pourtant plus de 6 milliards dans l’escarcelle de la Communauté française. Lors de la répartition des compétences au sein du gouvernement, on s’est plus soucié de savoir qui aurait les arts dela scène, reléguant les jeunes en difficulté dans les coulisses. Paradoxe suprême pour un pays qui a vécu ces dernières années à l’heure blanche! Démocratie tentera en deux dossiers de faire la lumière sur l’Aide à la jeunesse au travers de reportages de terrain et de témoignages. Première radioscopie d’un secteur aux ramifications complexes, encore secoué par les réformes issues du décret 91.


Lire la suite...

Le Gavroche

Les inégalités jusqu'au bout des dents

Franck Vandenbroucke veut interdire aux dentistes de facturer «des honoraires supérieurs… Lire la suite
Mai 2019

Tous les numéros

DEMO NOV 23