Au cours des deux dernières années, des décisions de justice dans des affaires de conflits collectifs de travail semblent avoir provoqué une certaine commotion parmi les militant·es. Peut-on parler comme l’a fait la presse de «requiem pour le droit de grève»? Est-il vrai que les grèves sont désormais interdites ou dépendent de l’arbitraire incontrôlable des juges? Paul Palsterman, ancien membre de notre comité de rédaction (1) , livre son analyse.
| Écrit par Paul Palsterman |
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Catégorie : Société